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Le fonds peut adopter des stratégies relativement risquées sur les marchés obligataires et des changes, au moyen de positions longues et courtes, et de dérivés. Le recours à des dérivés recèle des risques supplémentaires, dont le risque de contrepartie. Selon la qualité du crédit, les emprunts d’entreprise présentent un risque de perte sur défaut supérieur à celui des emprunts d’Etat. Ce risque est plus élevé avec les emprunts à haut rendement et émergents qu’avec les obligations d’entreprise et d’Etat IG. L’évolution des taux, des écarts de crédit et des monnaies influence la valeur du fonds. Les pays émergents se trouvent à un stade de développement précoce et se caractérisent par une forte volatilité des cours et des risques tels qu’une moindre transparence du marché, des barrières réglementaires, des directives de gouvernance d’entreprise et des défis socio-politiques. Les marchés émergents peuvent présenter une liquidité limitée. Une flexibilité accrue du portefeuille augmente le risque de voir les décisions au niveau de la gestion de portefeuille léser la performance. Les placements sont soumis aux fluctuations du marché. Tout fonds comporte des risques qui peuvent considérablement augmenter dans un environnement de marché inhabituel. Les aspects cités exigent de l’investisseur une propension au risque et une capacité de risque adéquates. Les classes de parts de distribution trimestrielle 2% peuvent distribuer du capital comme des revenus. Il est possible que les distributions entraînent une érosion des actifs et une réduction du capital investi. Des répercussions fiscales négatives sont possibles dans certains pays. Il se peut que les investisseurs de certains pays se voient imputer un taux d’imposition sur le capital distribué supérieur au taux appliqué aux plus-values réalisées en cas de cession de parts de fonds. De ce fait, il peut être judicieux d’investir dans des classes de parts de capitalisation (acc.) plutôt que dans celles de distribution (dist.). Les investisseurs peuvent être imposés sur le capital et les revenus des classes de parts de capitalisation (acc.) à une date postérieure à l’imposition des classes de parts de distribution (dist.). Il est recommandé aux investisseurs de consulter leur conseiller fiscal.