Qu’il s’agisse de la proximité avec la clientèle, de la prospection de nouveaux marchés ou de la rentabilité: la création d’une filiale à l’étranger se fonde sur des stratégies variées. Philippe Sahli, cofondateur et CEO de , ainsi qu’Alexander Curiger, fondateur et CEO de et , vous les dévoilent de première main dans le cadre du septième Growth Talk.

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Pour connaître le succès à l’étranger, il est crucial de trouver des collaborateurs qui se sentent partie intégrante de Yokoy dès le début.

Philippe Sahli, cofondateur et CEO de Yokoy

L’importance stratégique des partenariats dans le quotidien professionnel ne date pas d’hier.

Alexander Curiger justifie comme suit l’aspect crucial de ce contact précoce avec des partenaires à l’étranger: «Collaborer avec des partenaires signifie ne pas perdre de temps. On bénéficie ainsi, dès le début, d’un accès aux connaissances du marché et aux contacts pertinents. En l’absence de partenaires, il faudrait préalablement développer soi-même le savoir-faire et le réseau, ce qui est particulièrement chronophage».

La constitution du réseau et le choix de partenaires à l’étranger vont de pair et sont d’une importance essentielle pour ancrer la filiale sur le nouveau marché. «Je considère l’ensemble de nos partenaires comme un atout précieux, souligne Philippe Sahli, car quiconque aspire à faire avancer son expansion aussi rapidement que nous a besoin aussi bien de leurs connaissances que de leurs réseaux».

Yokoy et drinks.ch, respectivement drinks.de, ont certes financé leur expansion à l’étranger de manière différente, mais toujours sur la base de leur stratégie d’expansion. Étant donné que Yokoy aspire à croître rapidement et à promouvoir son expansion à cet effet, l’entreprise a fait appel à des investisseurs en guise de partenaires stratégiques – et profite ainsi de leur capital, mais également de leur expérience.

Alexander Curiger de drinks.ch, en revanche, a consciemment renoncé à solliciter des investisseurs. «Nous souhaitons conserver notre indépendance dans nos décisions entrepreneuriales. En conséquence, nous misons sur une croissance organique, qui s’élevait entre 40% et 45% ces dernières années. Au moyen d’un crédit de financement d’ÃÛ¶¹ÊÓƵ, nous avons pu financer notre expansion solidement. Bien entendu, nous espérons continuer à profiter de ce soutien et sommes soucieux de maintenir notre rentabilité et notre taux de fonds propres à un niveau stable, dans le but d’assurer également notre future croissance».

Je considère l’ensemble de nos partenaires comme un atout précieux: grâce à leurs connaissances et à leurs contacts, ils nous soutiennent dans nos efforts d’expansion.

Alexander Curiger, fondateur et CEO de drinks.ch et drinks.de